Examens de fin d’année : cinq conseils pour mieux les appréhender
Juin ? Un mois particulièrement compliqué pour les adolescents. Stress, trouble de la mémoire, signes d’angoisse, procrastination : ces derniers sont confrontés aux examens de fin d’années (baccalauréat, partiels terminaux…), aux aléas de l’orientation, de la recherche de stages. En résumé, lycéens et étudiants sont alors soumis à beaucoup de pressions… ainsi que leurs parents !
En tant que maman, je connais cette question. En tant que Myrrhophore, je veux y apporter des solutions. Comment est-ce que je m’y prends pour soulager toute cette angoisse, redonner de la confiance, améliorer les conditions de mémorisation ? Je vous explique tout.
Restituer l’harmonie
Il faut déjà se convaincre que rien n’est perdu, loin de là. Il y a toujours quelque chose à faire. En tant que thérapeute, je ne fais pas de symptomatique, j'aide à ramener l'équilibre de l'être humain que j'ai en face de moi. Derrière tous ces symptômes évoqués plus haut, on trouve un corps en difficulté, bien souvent en carence, fatigué mentalement, dont le système énergétique est épuisé, voire bloqué par endroits. Il y a donc beaucoup à faire afin de restituer un peu d’harmonie dans tout ça, que ce soit au niveau de l'alimentation, de la supplémentation, de l'usage des plantes et autres…
Cela commence par un accompagnement spécialement adapté à ce type de public. Je rencontre l’élève ou l’étudiant qui me consulte, ce rendez-vous dure entre 1 heure et 1 heure 30, ce qui me permet d’établir un dialogue, de cerner les problèmes, de détecter les blocages. Je dresse alors un bilan complet à partir duquel j’émets des conseils très personnalisés, une sorte de feuille de route, de gestes de prévention à mettre en place. Je peux également conseiller de façon plus globale, avec des solutions qui vont convenir à tout le monde, quels que soient le tempérament et les dispositions de chacun.e.
Cinq actions à mettre en place
Les épreuves du mois de juin étant imminentes, lycéens et étudiants sont en pleine révision, avec un stress croissant. Que peuvent-ils mettre en application rapidement et facilement pour baisser la pression ? Voici les cinq actions qui me semblent cruciales :
Amener un maximum de nutriments en un minimum d'apport, car durant les révisions, l'alimentation est plutôt décousue. Il faut miser sur les superaliments pour apporter des doses élevées de vitamines, minéraux et anti-oxydants : spiruline, jus d'herbe d'orge, maca, açaï, etc. À ce titre, j'aime beaucoup la marque Iswari qui propose des mélanges pour le petit-déjeuner ou des mélanges pour smoothies. Les deux sont à ajouter dans du lait végétal ou un jus frais. C'est un super petit déjeuner, goûter ou encas qui va soutenir le corps et le cerveau.
Se supplémenter, car le cerveau a besoin de beaucoup de gras et de minéraux pour fonctionner de façon optimum. Là, je conseille le Lifelong Vitaly de DoTerra, indispensable surtout quand on mange peu, trop et mal avant les examens.
Améliorer son sommeil. Le combo Serentiy de doTerra est parfait : une synergie d'huiles essentielles à passer sur le cœur, les poignets et les tempes avant de se coucher ; j'en mets aussi sur la taie d'oreiller ou le drap en cas de réveil nocturne. Et une gélule à avaler avant le coucher pour assurer une bonne nuit de sommeil naturellement et sans effets secondaires.
Booster ses méninges. Il existe des huiles parfaites pour cet usage :
le romarin pour la mémoire,
InTune pour la concentration,
orange/menthe dans le diffuseur pendant les révisions afin de gérer le stress et d’ouvrir les zones du cerveau de l'apprentissage,
la menthe seule pour se réveiller et éviter les coups de barre.
Gérer son stress. Mes deux chouchous pour y parvenir ? Adaptiv et Copaïba.
Adaptiv pour aider à gérer l'anxiété et les situations stressantes.
Copaiba qui va soutenir le système nerveux, le cerveau, et se poser dans les mêmes récepteurs que le fameux CBD, mais de façon plus efficace.
Toutes les huiles essentielles sont disponibles ICI, vous avez tout dans le panier. Il ne vous reste qu'à enlever ou ajouter ce que vous voulez.
Et les parents dans tout ça ? Eux aussi sont stressés, qui ne le serait pas ? Comment alors peuvent-ils aider au mieux leurs enfants à gérer l'angoisse des examens ? Eh bien, en travaillant sur leur propre anxiété, afin de ne pas la communiquer. Pour eux comme pour leurs petits, les conseils sont les mêmes : gestion du stress, sommeil, alimentation. N’oubliez pas : avoir des parents zen est un soutien précieux !
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